Dans le cadre des 3èmes RDV Techniques d’Axema, la Chaire AMNT a été sélectionnée pour présenter ses travaux en session plénière de conclusion. Les recherches effectuées portent sur l’état actuel de la formation en AgTech en France, à différents niveaux de formation, en se focalisant sur les diplômes conférant la Capacité Professionnelle Agricole
L’objectif principal était de rencontrer et questionner un nombre limité d’agriculteurs sur leur perception des performances de confort et de comportement des tracteurs agricoles et identifier les tendances générales liées aux situations d’inconfort lors de l’utilisation de tracteur de moyenne puissance en polyculture-élevage.
Les comptages d’épis, utiles pour caractériser une espèce de céréales, pour réaliser une estimation de rendement ou pour comparer plusieurs variétés, sont jusqu’à aujourd’hui souvent réalisés manuellement. Le commanditaire souhaitait un outil pour réaliser le comptage de manière plus aisée.
La France est leader de production de betteraves sucrières dans l’Union Européenne avec 480 000 ha cultivés par 26 000 planteurs.
Les paysages sont formés par les interactions entre les ressources naturelles et les gestionnaires de terres hétérogènes qui attendent ou poursuivent une variété croissante de services écosystémiques. L’écologie du paysage a sans aucun doute indiqué le paysage comme étant le meilleur niveau pour évaluer les services existants et pour soutenir les améliorations attendues. Là où l’agriculture est le moteur de la dynamique locale, une analyse contextuelle croisée des activités et des acteurs agricoles est nécessaire pour comprendre comment et pourquoi les paysages sont produits, et éventuellement redessinés.
Les gestionnaires des terres ont besoin d’informations spatialement explicites sur les pratiques agricoles afin de répondre aux problèmes qui découlent de l’utilisation des ressources naturelles dans l’agriculture. L’une des principales caractéristiques de l’agriculture est sa grande variabilité dans l’espace et le temps. Toutefois, la description de la répartition spatiale des “systèmes de culture”, c’est-à-dire des séquences de cultures et des systèmes de gestion des cultures à l’échelle régionale, reste un défi scientifique majeur.
Bien que la distribution et la mobilité des oligo-éléments aient été étudiées dans les sols agricoles, les informations précises sur la mesure dans laquelle les activités anthropiques influencent la qualité des sols restent limitées. Cette étude a quantifié la distribution des éléments traces (As, Bi, Cd, Cu, Ni, Pb, Pd, Sb, Zn) dans les sols agricoles et les pâturages en France métropolitaine sur la base des résultats du projet GEMAS [1]. L’ensemble de données est composé de 214 échantillons de sols agricoles (Ap) et de 218 échantillons de sols de pâturages (Gr) pour les fractions totales et mobiles.
Compréhension des leviers agronomiques associés à la déformation du sol
